Les « inquiétudes majeures » concernant la croissance stable des entreprises chinoises de fixation

Sonnons la trompette de la « croissance stable »

Selon les indicateurs économiques tels que le PIB, l'IPP et l'IPM, le taux de croissance économique nationale a ralenti et une pression à la baisse significative a été exercée au premier semestre 2012. En fait, dès la fin de l'année dernière, la Conférence centrale de travail économique a donné le ton de la « stabilisation de la croissance » ; d'avril à août 2012, le gouvernement central a souligné à plusieurs reprises l'importance de la « croissance stable ».

Sous le slogan du gouvernement central de « stabiliser la croissance », face à la crise économique, la première chose qui vient à l’esprit dans les différentes régions est l’arme magique de l’investissement. Guangzhou, Ningbo, Nanjing, Changsha et d’autres villes ont lancé successivement une série de grands projets d’investissement et de mesures de relance économique pour stabiliser la croissance. Cela a conduit à l’émergence de Wang Zhongbing, maire de Zhanjiang, Guangdong, qui est devenu un point de mire sur Internet en embrassant les documents d’approbation de la Commission nationale du développement et de la réforme. En effet, cet incident reflète également, d’un certain point de vue, l’émergence d’une nouvelle vague de fièvre d’investissement locale en Chine.

Il y a donc une question qui est devenue le centre de l'attention de tous les secteurs : est-ce que les politiques de croissance stables mises en œuvre fréquemment dans diverses régions peuvent favoriser une croissance économique stable ? L'économiste Yi Xianrong a avancé que la « croissance stable » ne peut pas suivre la vieille voie de 2008. Il a déclaré qu'en l'absence de changements fondamentaux dans l'économie nationale, la nouvelle série de politiques de relance économique se concentrerait davantage sur la stabilité durable de la croissance économique à long terme, plutôt que sur un retour à des niveaux de croissance à deux chiffres à court terme. Les universitaires ont également posé haut et fort la question suivante : l'économie chinoise doit-elle maintenir son « 8 » ou survivre ?

Dans les « trois wagons » qui propulsent l'économie, les exportations et la demande intérieure sont toutes deux en berne. En 2012, le pays a dû faire face à de nombreuses pressions pour maintenir une croissance stable, et atteindre l'objectif annuel de 7,5 % du PIB n'a pas été une tâche facile.

En ce qui concerne l'industrie des fixations, il n'est pas exagéré de dire que la situation actuelle du secteur est « enveloppée de brume ». Il n'est pas facile de parler de « croissance stable ».